Mon appart de passe. (Possiblement hentai)

Bachila fumais un cigarette sa cliente de l'aprés midi était enfin partis et il avait décidé de prendre la soiré en repos étant donné que cette dernière l'avait bien payé. Y'avait de quoi Il regardais son lieu de vie tapissé d'un rouge sombre, son lit a baldaquin qu'il avait récupéré quand il venait encore a domicil chez une clientes qui l'avait acheté expréssement. il l'avait inoguré ici avec elle gratuitement, un service rendus pour un autre. entiérement drapé de soie rouge et de rideau en lin noir, il était installé dans son salon qu'il avait pris expressement grandpour pouvoir y mettre avec assez d'espace en plus son canapé qu'il utilisait souvent dans son travail. en effet il et dingue de voir comment certain et certaine cliente préféré l'incomfort, la baise bestiale....
Il se dirigea vers sa salle de bain qui était trés simple une petite douche un bidet et un lavabo. se regarda dans le miroir, se contorsionnant pour voir son dos...

elle m'a déchiré le dos cette salope!!
Cette cliente avait reservé pour l'aprés midi entière il avait du l'accompagner dans toutes les boutiques de lingeries fine afin quel fasse son choix pour ensuite rentrer ici ou chaque élément avait était essaye et souiller de sa cyprine. Elle aimais l'amour bestiale aussi, elle en avait eu... La ou cela avait était le comble c'est quand il l'avait attaché en porte jartelle les mains dans le dos qu'elle ne puisse rien controler. Il lui avait fait une séance compléte poussant tous les préliminaires a bout ne la laissant jamais jouir s'arrétant toujours juste avant son orgasme. Son excitation atteint un tel point qu'elle s'était saigné les poigné pour se libérer afin de lui sauter sauvagement dessus, atteignant ainsi la pénétration la faisant ainsi plonger la tête dans un parterre d'étoiles.
Boire prendre une douche c'est tout ce que je veux.
Il se servi un vers de musca frais et s'affala sur le divan épuiser.

Zeek sentis la fraicheur de cette main sur son dot, cela faisait du bien à ses plaies. Il sentait la respiration qui se brisait sur son corps. Il ne voulait pas bouger ni savoir qui était la.
Bonsoir vous savez ou vous êtes? ou c'est juste la fenêtre qui vous a plus
Il partis d'un petit rire, fier de ne plus avoir de sens de l'humour appréciable. Ce rire se transforma en toussotement roc. Il sentait encore cette main silencieuse sur son dos... Il enfoui son visage dans le draps, et là, il eu cette étrange pensée.
Cette personne pourrait décider de me tuer, j'ai l'impression quelle le ferai avec assez de douceur pour que cela me soit agréable.

Zeek se tourna un peu pour liberer sa bouche de l'emprise de la soie.
Vous auriez une cigarette par hasard?

Elle restait là, derriére lui, elle sentait bon l'odeur de la chair discréte sous ses mains de velour. Un frisson de bonheur le parcourus. Il y'a bien longtemps que l'on ne s'était pas occupé de son corps comme cela. Il soupira soulagé, allégé.

Il y'a des cigarettes sur la table basse devant le canapé, et sous cette table divers alcool raffiné si vous voulez bien me ramené les cigarettes vous pouvez en profiter pour vous servir un vers.

Plus il parlait plus sa voix le dérangait trahissant le doux silence qui s'était invité dans son chez lui par le fenêtre. une brise bienfaisante, Il se reposait enfin hors de la tension bestial d'un monde sans poésie.

Il ne savait qu'une chose de cette femme la couleur si belle de ses cheuveux et la sensualitée féline de ça voix. Ca sufisait...

Bachila pris la cigarette tira une grande bouffé dessus. La fumée passa dans sa gorge chaude voluptueuse, et alla se lover dans ses poumons comme un chat dans une couverture. Il entendit la fille lui dire
- Vous aimez ou vous préferez que je m'arréte
Il reste un peu pensif. Aimez-t-il il apprécié l'impression d'être en vacances si on part du principe qu'être en vacances, c'est profiter du fait que ce soit les autres qui travaille. J'aime? La question était posé. Pourtant répondre oui ne lui plaisait guère,aprés tout cela lui plaisait, mais il avait peur de parler,on ment tellement sans s'en rendre compte quand on parle.
Il passa une mains dans son dos pour caresser cette mains posé sur son dos, La remonta en même temps qu'il remontait son dos toujours face au lit. La main douce, l'avant bras satiné, L'épaule musclé, le coup dans la vallé de douceur, et il trouva encarressant du bout des doigts, ce qu'il cherchais, La rose, qu'il effleura, avant de se tourner les yeux fermé pour l'embrasser. Ses propres lévres effleurant doucement la chair puis goutant le gouts salé plus intensement avec tout les lévres.
Ceci fait il soupira et se reposa pour continuer a fumer.
C'est mieux qu'une douche peut-être...

Bachila l'écouta. Et il sentis le corps de la jeune fille se lever. Partir? Il repensa a ses caresses. Non décidement ce n'était pas ce qu'il voulait. Il se retourna pour la regarder dans les yeux. Et il y plongea comme dans un labyrinthe de contradiction.

Tu ne me dois rien en tout cas. Ni de partir ni de rester... Tu veux partir? Réelement?

Il la regarda un peu plus attentivement rien n'existait plus dehors. L'instant était de soie, il aimait cette tranquil paix qui l'envahissait.

Ses envies? Bachila n'aimez pas cette expression, c'était du même type que celle de ses clientes et clients. Et les siennes d'envies ? Personne ne s'en souciait.. le massage de son dos lui avait d'abord fait croire que cette fille pourrait s'occuper un peu de lui, que pour une fois ce ne serait pas de lui qu'on attendrait les choses... Pourtant il n'avait pas envies de la rejeter, le mystére dans ces yeux peut-être, ou simplement son silence au départ. Elle avait continuer de l'embrasser et se retrouvait maintenant à cheval sur lui, Il sentait son entre jambe pesant sur le sien. Il la regarda, reposa un méche qui lui barrait le visage en deux derrière son oreille pour mieux voir ces yeux. Il l'observait... Pui il releva son dot la serra entre ses bras pour lui sussurer à l'oreille.
Libre à toi mais si ce n'est que pour tes envies et nullement pour moi, alors il t'en coutera quelque chose...
Il lui mordilla le lobe supérieur de l'oreil, trés délicatement, puis déscendi jusqu'à la nuque l'embrassant doucement, carressant en même temps son dos parcourant de haut en bas sa colonne vertébral, appréciant la cambrure raffiner de son dot musclé. Il revint par le même chemin jusqu'a son oreille pour lui glisser
Alors n'est tu là que pour profiter de mon corps et mes caresses? ne te préoccupant que de tes envies, ce que j'accepterai parfaitement, Ou t'interresse-tu réelement à moi?
C'était maintenant qu'il allait savoir si il était en train de travailler ou non....

Bachila émis un soupir de satisfaction... Voila ce qu'il avait voulu entendre depuis le début ce qu'il n'avait pas entendus depuis trop longtemps. On lui demandé son avis. Ce n'était pas tant de savoir si elle lui plaisait, pour ça ses manières son regard tout en elle exprimait un érotisme et une sensualité qu'il apréciait. C'était juste une question de principe. Savoir si elle avait un interet pour lui ou si il n'y avait qu'elle en ligne de compte.
Il se releva lui pris la main et l'embrassa remontant son bras et l'embrassa a nouveau Caressant tout son corps l'enlassant. Il la désirait.

Cela répond-il a ta question?
Lui lanca-t-il avec un sourire malicieux...

Bachila apprécia le moment tout en la quittant comme avec regret il se leva la tenant un dernier moment du bout de ses lévres. Il la laissa ainsi sur le lit et alla servir deux verres de whisky. Les amena sur la table de nuit en ébéne et se rassit il commença a lui reirer le haut de ses vétement tout en joignant ses lévres au gestes. Doucement l'un aprés l'autre les bouts de tissus tombérent à terre. Il passa une main puis l'autre dans le dos de la jeune fille et parcourus de haut en bas sa colonne vertebral, en un massage régulié et lent. Il saisis l'un des verres et le porta a sa bouche l'alcool lui réchauffa la gorge comme u=on démarre Une chauderie, il sentait son ventre contre le sient le frotemen donnan une impressions d'explosion épidermique, La chaleur dan sa gorge et dans son ventre ne le lassait pas d'impressions il regarda les yeux de la fille et lui tendis le verre le posant délicatement sur sa bouche au reflet de miel, et au gout d'amande, comme pour l'aider à boire,
Une petite soif peut-être?

Son dot se cambra sous la caresse acide de ses plaies qui était encore à fleur de peau. Il sentait chaque partis de son corps parcourus de frissons electique qui mélé à l'alcool lui vrillé agréablement le cerveau le poussant a chercher avec d'autant plus de violences charnel un assouvissement a son désir qui ne cessez de grimper. Il la sentait réagir sous ces doigt, il se sentait vivant sous les siens. Il la coucha sur le lit et pris les temps de regarder un moment dans ces yeux observant son visage enchanteur. Pour lui déposer un baiser su les yeux puis sur les lévres. Commenssant ainsi a déscendredans son cou, l'espace doux entre ses seins et son ventre le nombril ventre parsemé de quelque jolis cicatrice qu'il pris le temps de caresser.

Elle le sentait prendre plaisir aux moindres de ses caresses, elle savait qu'il devait les ressentir pleinement suite aux blessures qu'il avait reçu... comment une femme pouvait-elle abuser ainsi d'un homme, lui faire tant de mal pour son plein plaisir... La jeune femme qu'il avait à présent entre ses bras adorait elle aussi se servir de ses armes, mais jamais pour un tel moment... Il se devait doux et sincère...

Et c'est ce qui se passait en ce moment... Un moment doux et précieux... Il l'avait posée sur le lit pour commencer à l'embrasser, descendant rapidement vers sa poitrine, la jeune femme profitant de ce moment agréable... Il avait de si beau yeux, pénétrant, attirant... Comme le reste de son corps... Elle avait envie, même si son but était de lui donner envie cette fois...

Il continua d'embrasser son corps ses bras caressant son corps tout du long en même temps. Ce n'était paas de la froide science comme avec les autres. Mais l'habitude du geste lui permettait d'aprecier ce moment, entièrement, sans l'empressement de l'inexperience. il sentait la chair, la chaleur du corp proche de lui si proche. C'était étrange. il eu une pensée qui lui fit presque peur:
J'aime ce moment, qu'il ne finisse pas
C'était comme si pour l'une des premières fois ce qu'il faisait n'était pas salis, ni par le lieu, ni par lui, ni par la personne qu'il avait en face. Son corps allié a celui de cette fille qu'il ne connaissait pas était comme un lien subtil secret, pas avec elle uniquement mais au delà, avec un monde en paix.
Il s'arreta et voulu reprendre le temps de la regarder. S'ennivrer de sa beauté mais aussi de cette page blanche en face de lui dans la nuit noir.
Il avait peur que son contrôle froid, prenne le pas sur son abandon oubliant qui il pouvait être.

On ne pouvait pas dire que Taiyô avait eu beaucoup de relations jusqu'à présent... Et à vrai dire, aucune n'avait été vraiment sincère... elle trouvait tellement plus facile d'offrir son corps, plutôt que d'ouvrir son coeur... cette fois ci encore, elle ferait l'amour sans en avoir les sentiments... Mais malgré tout, c'était la première fois qu'elle en avait tant envie... Mais pas envie de l'acte, simplement envie de cet homme... si beau et attirant à la fois, si généreux à sa manière...

Mais n'allons pas dire qu'elle n'avait jamais aimé... car c'était faux. Elle avait aimé... A un tel point et c'était si réciproque... mais cet amour ne dura guère longtemps, car son cher et tendre disparut et elle fut bientôt attirée par une autre personne.... Peut-être que cette personne était plus importante encore pour elle...

Mais aujourd'hui, les souvenirs de ces moments étaient devenus vagues, diformes, sans couleur... elle n'y avait plus aucune odeur... Juste des images floues, éloignées l'une de l'autre de pas mal d'évènements... Les plaies sur ses bras qui lui rapelait sa tentative de suicide, le baiser qu'elle avait fait à elle ne sait plus trop qui... Ses images d'un cachot froid et humide, d'un homme vieux et acharné qui voulait à tout prit la voir périr après avoir dit ce qu'elle savait... Et tant de choses encore...

Mais là, elle n'y pensait plus... Elle était entre ses bras, profitant de ce moment divin, désirant que jamais il ne s'arrête. Ou du moins, qu'il ne s'arrête pas trop tôt...

Leu caresse se faisait plus forte ils étaient fusionné dans cette instant de grace ou leur deux corps projeté la magnifique beatué qu seul savait rendre les corps humains enlacé l'un a l'autre bachila percevais la moidre des respirations de sa partenaire. ses mains la carréssait et s'approchait de son intimité la survolant lentement a peine posé dessus.
De ses lévres il mordait doucement les lobes de cette fille dont la nuée de cheveux prsemé comme un tapis de sois les matela sur lequel ils était allongé.
Puis de sa bouche il pris encore le gout de ses lévres comme on goute a une liqueur qui vous ennivre le cerveau.
Ennivré il l'était rien n'existait plus autour de lui.
Cela pouvait lui jouer des tours. Mais son esprit était ailleur...
Dans l'immeuble pourtant alors qu'ils ne l'entendait pas un remues se faisait entendre.

Les carresses semblaient de plus en plus profondes, de plus en plus agréables... bientôt, les baisers et les mains rèches de l'homme laissèrent place à une manoeuvre un peu plus sérieuse. Mais celà ne l'empêchait de venir l'embrasser à nouveau, au plus grand plaisir de la jeune femme... Le temps passait, mais rien ne semblait se passer en dehors de ce lit... La nuit restait noire, les rues restaient calmes, mais à l'intérieur de l'appartement, le brouhara se faisaient retentir... Taiyô ne le remarqua pas tout de suite, mais un bruit plus précis la fit se mettre à l'aguet.

-Un katana...

elle avait légèrement levé la tête après avoir murmuré ce simple mot... Bachila lui, la regarda un moment, sans trop savoir de quoi elle parlait, ou peut-être en savait-il plus que prévu...

Bachila prenait petit a petit conscience du bruit en dessous d'eux. Mais ces carresses ne pouvaient cesser. Il écoutait la douce mélodie de sa réspiration saccadé. La rumeur grandissait aux étages inférieur, il continuait a la regarder et une autre pensée lui forçait l'esprit, non plus sur elle mais sur quelque-chose qu'il avait du oublier. Qui allait foutre la merde...

-Un katana...

Elle lui souffla cette phrase dans l'oreille, il la regarda elle semblait comprendre que ce doux moment prenait bientôt fin.
Il lui fit un petit sourire désolé et s'assis nus sur le rebord de ce lit ou tous les ébats serviles qu'il avait eu venaient d'être purifié de leur Disgracieuse existence.
Il prit une cigarette et la regarda l'alluma en fixant la porte d'entrée d'ou le bruit montait d'abord murmure puis plus pluissant de seconde en secondes.
Il la regarda a nouveaux la cigarette au bords des lévres laissant s'envolé quelque voluptes arrondies d'un fumée dense, et lui dit.
Désolé je crois qu'on va avoir une visite inconvenante, si tu ne veux pas avoir a faire à cela tu peux repartir de suite par la fenêtre...

Il se tourna de nouveaux vers la porte toujours assis tranquilement toujours nus. Pas besoin d'habits pour ce salir
Il restait une dizaine de secondes avant leur entré

L'homme aussi finalement semblait avoir remarqué la présence d'une autre personne en ces lieux, se retirant bientôt d'elle pour s'asseoir au bord du lit et allumer une de ses précieuses cigarettes. Les hommes étaient bien trop envoutés par ce genre de choses inutiles, même si parfois, elle faisait un bien fou, carressant doucement les poumons avant de les salirs de leur goudron noir... Ca donnait une raison valabe de diminuer son espérence de vie...

L'homme l'invita à s'en aller, alors que les personnes s'approchaient d'eux peu à peu, il n'était plus qu'à dix pas d'eux... Elle pouvait s'enfuir et le laisser seul à ses ennuis, ou alors combattre à ses côtés. Dans tous les cas, elle ne pouvait rester là ou elle était et dans cette tenue...

10........... Elle se releva pour attraper ses vêtements posés au sol...
9............ Ellle enfila le string qu'elle avait abandonné il 'y avait pas une demi heure, avant d'enfiler son soutient noir, assorti à ce dessous...
8........... Les hommes avançaient lentement, pour éviter le moindre bruit, mais on entendait disctinctement le grincement sous leurs pieds. Mais Bachila ne bougeait pas, continuant à fumer tranquillement dans son hâlo de fumée...
7........... Taiyô regarda autour d'elle, la fenêtre était toujours ouverte... Elle aurait le temps de s'y glisser et de s'en aller avant leur venue...
6........... La jeune femme attrappa sa robe au sol et l'enfila lors des 2 prochains pas... Il ne lui restait désormait que son katana laissé au pied du lit...
3........... Elle se posa sur le lit, là où elle se trouvait précédemment, mais cette fois, dans la position du lotus, calmement assise donc...
2........... Un murmure se fit entendre de l'autre côté de la porte... Ils allaient entrer...
1.......... Taiyô analysa concencieusement la situation, son katana au bout du lit, la position exacte de celui qui avait bien failli la faire jouir, les hommes qui se trouvaient de l'autre côté de la porte fermée dans un nombre incertain... Bachila venait de lui accorder un dernier regard, comme étonné de la voir encore là... Mais elle ne bougerait pas.
Elle se rendit compte qu'elle n'avait pas mit ses chaussures, mais ce n'était pas important...
0..........

Bachila fuma pendant les quelques secondes de répis qu'il lui restait, il ne pris que deux bout de ses draps et en entoura ces mains, comme un boxeur. La fille s'habilla rapidement et revint se poster sur le lit, il ne lui jeta qu'un bref coups d'oeil, ainsi elle avait décidé de rester... Interessante, belle, et pleines de surprise.
Pensa-t-il Les hommes allait débouler d'aprés le calme plus profonds,il devait être dérrière la porte maintenant, prés a bondir d'un instant à l'autre. Il voulu ironiser un peu plus sur la situation et avant qu'ils ai commencé a défoncer la porte il dit en éteignat sa cigarette.
Entrez! mais faîtes attentions la porte coince un peu...
La réponse ne se fit pas attendre. 3 loubard en cuir venez de rentrer en défonssant la porte. Il hésitèrent avant de faire ou dire quoi que ce soit,tout d'abord face a la nudité de Bachila qui sembla les dérangé puis en s'apercevant que de plus il n'était pas seul ce qui semblai ne pas être prévus dans leur plan.
Les 3 hommes se regardèrent sans mots dire. Bachila leur dit alors.
Oui?... C'est pour quoi?