Bagarre !

Le soleil venait à peine de se coucher, baignant la ville de Taisha, dans la pénombre, et dans la faible lumière des lampadaires, ont pouvait apercevoir une personne, ses cheveux blancs brillaient avec la lumière, il était tout habillé de cuir. Ses yeux brillaient de colère. Dante fixait un jeune honne, non loin de lui, il semblait avoir quelque chose dans la main, mais en même temps que jeune homme avançait, Dante le suivait, et il arriva dans une ruelle adjaçante, et aussitôt notre homme poussa le plus jeune, dans la rue, celui-ci le regarda et lui fit :

- Mais qu'est-ce qui vous prends !
- J'ai un travail à faire, et malheureusement pour toi, c'est celui de te tuer !

L'homme cria de peur, mais Dante lui mit son fouet autour du cou, et il commençait à l'étrangler, il serrait de telle manière a voir l'homme souffrir sous ses yeux, et cela le fit sourire, il lui mit la gorge en sang et puis, soudain, plus de pression, ni de force venant de l'homme, il venait de mourir, Dante le lâcha et emporta le corps, il le fit brûler, puis regarda le corps, il sentie comme une vague de plaisir l'envahir, le sang était sa seule raison de vivre...

Aynkkel regardait la scène, dissimulé dans les ténèbres, l'inquisiteur regardait la scène, qui était cet homme, il n'avait que peu d'information sur ce dernier, il n'y aurait que deux issue, ou il devrait le tuer, ou l'engager come mmercenaire, mais vue cette acte, il avait déjà uen idée sur la fin...
Habillé dans habit inquisitoriale le seigneur inquisiteur, l'ancien gardien dit d'uen voie sombre d'un être plein de sagesse:

-Quel est le prix?

L'Inquisiteur vêtu dans sa bur dissimulé son épée, ll'arme qu'il avait avant de changer de corps, l'arme qu'il garderait jusqu'à l'ultime combat...
Le regard D'Aynkkel était de glace, son visage de marbre, il avait vu tant de chose tant d'horreur que l'homme brulant à ses côté n'était pas dérangeant, a vrai dire, ilavait traqué et tué tantd'hérétique que un bucher de plus ou de moins...

A présent, il n'y a plus qu'à rentrer chez moi. J'ai fini de faire ce que j'avais à faire, on me libère donc... Je marche d'un pas assuré, mais pas rapide pour autant. Pour rentrer chez moi, il me faut passer par l'un des quartiers de la ville. Ne sachant pas vraiment grand chose de Taisha, je m'aventure dans le quartier chaud, sans même savoir qu'il est dangereux...

Mais je ne tarda pas à m'en rendre compte... A peine au centre de ce quartier de je vois un gars en attraper un autre... Je m'approche de ces deux personnes. L'une parait impassiente, l'autre effrayante... Je parviens à entendre les paroles de l'impassient, mais pas celle de cet homme qui l'a plaqué au mur...

Des cris étouffés se firent bientôt entendre... Il vienne de cet homme que je vois en train de se faire étouffer par un fouet. Je m'approche, en silence... L'homme est mort... Il n'y a plus aucun bruit. L'homme vivant a pris l'homme mort en main pour aller plus loin le bruler... Je le suivis, toujours silencieuse... Je reste craintive, bien que déterminée...

Sa démarche est étrange, ces habits, ces yeux et ces cheveux aussi. Ce n'est pas un homme qui doit être fort chaleureux avec les gens... Il ne doit pas avoir beaucoup d'amis non plus...

Je vois malgré tout quelqu'un avec lui, mais ça ne doit pas être un ami à lui non plus... Vu son air et son attente pour une quelconque attaque...

Je m'arrête juste derrière eux, m'attendant à ce qu'ils m'attaquent ou du moins, qu'ils me remarquent... Je ne dis pas un mot, attendant ce moment...

Les flammes dévoraient l'homme, mort, et cuit par la suite, cela faisait une lumière des plus rouge, mais elle ne porterais pas soutiens ni douceur, elle brûlerais. DAnte était devant, ce remémorant les cri plaintif et presque sourd de l'homme récemment tué, puis il entendit une voix, derrière lui. Il ne se retourna que quelques secondes après, vers l'auteur de ses paroles. Il se mit à sourire et il ajouta :

- Mon prix dépend de la mission, je ne suis pas difficile. Mais je n'accepte que les boulot où tuer et voir du sang couler n'est qu'un plaisir malsain.

Sur ces mot, il s'arrêta et ne dit point mot. Il se retourna vers le cadavre brûlant, sans bouger plus. Mais il ajouta :

- Si vous voulez merefourger un boulot, j'écoute, dans le cas contraire, je resterais pas là plus longtemps si j'était vous...

Ses paroles étaient de glaces, et il croisa les bras. Les reflets du feu donnait a sa veste un cuir, des impressions de sang.

L'inquisiteur eut un petite rire, un rire cruel et malsein, un rire que l'on a pas quand on trouve quelques chose de drôle, non, c'tait un rire qui n'avait plus grand chose d'Humain...
Il sorti un petite croix de sous son vêtement de moine, totue personen ayez pratiquer des activité ilicite connaissait ce symbôle:

-Je suis un membre de l'Inquisition, le travail que je te propose ne sera pas facile, mais tu gagnera le pardon pour certaines de tes fautes...

L'inquisiteur apperçut la jeune femem derrière, qui était elel, il ne l'avait jamais vue..;uen complice? Si tel était le cas, elle mourrais...

Il se retourna alors, regardant l'homme rire, mais lui, ne riait pas, ilo était assez de mauvaise humeur, cette humeur qu'ilpossèdait depuis le jour où son père lui apprit la mort de sa mère adoptive, le jour où il en eu plus que marre, et où ilsentit son coeur basculer dans les ténèbres. Il ne fit rien pendant que l'homme lui expliquait sa situation, et il trouva son mot à dire :

- Je tue par plaisir, je n'ai aucun regrets, je ne vit que pour le sang. Je n'est en aucun cas envie de me racheter de mes fautes... Mais si ton boulot est dur et sanglant, et si il faut tuer, je suis partant.

Il le fixa, ilavait des yeux de tueur et il brillaient avec les lueurs du feu. Ses yeux aussi blancs et cristallin que la lune. Il ne parla plus, mais avait lui aussi sentit la présence d'une personne, il se retourna vers la source et regardait, ne disant rien.

A présent, je ne pouvais reculer. Ces deux personnes m'avaient remarquées et je me doutais qu'une fuite causerait ma mort...
Je m'approcha, en silence, me dévoilant à la lumière de ce corps en feu.

Les deux personnes parlaient affaire. D'un boulot... L'un souhaitait en avoir un sanglant, répugnant, assassin. L'autre, celui qui en proposait un, ne disait pas un seul mot sur celui-ci... Je ne pouvais me taire plus longtemps...

-Pourquoi souhaiter la mort de personne sur cette terre, pourquoi la causer aussi...?

Je me tut après celà, attendant une réponse, ou une réaction de l'un d'entre eux... Je ne craignait pas de ma vie, bien que j'aurais souhaiter vivre un peu plus longtemps...

Il est vrai que certaines personnes mériteraient de mourir, à la condition qu'il y ai une raison valable... Une raison prouvée... Je suis sûre que cet homme n'aurait pas de raison à me donner si je lui demandais pourquoi il avait tué cet homme... Mais àprès tout, c'était trop tard à présent... Cet homme était bel et bien mort et de plus, son corps se consumait sous mes yeux... J'aurais voulu faire quelque chose... Mais que faire? Face à une telle cruauté...

Dante regarda la fille sortir de l'ombre, il ne bougeait pas, mais une fois qu'il entendit ce qu'elle avait dit, il fit, un temps soi peu en colère, comme à son habitude :

- Beaucoup de gens tue sans raison, mais cet homme, si tu veux tout savoir, à commis le sacrifice suprême sur la fille d'une femme qui m'a appellé. Je ne pouvais laisser cette ordure vivre plus longtemps. Et de plus, il aurait mériter souffrir plus que ça !

Il passa une main dans ses cheveux, et même si le fait de l'acte du jeune homme était terrible, il s'en foutait un peu, mais ne le laissait point indifférent. Cependant, il ajouta :

- J'ai toujours vécu dans le sang, voir la peur sur les visage, en entendant seulement mon nom. Et se sera toujours comme cela, et j'en suis fière, et tuer sans raison, cela ne me dérangerais guère.

Il avait pris un regard des plus sadique, mais ne bougea pas, il attendit seulement une réaction, un geste, il était assez sociale cette fois, ce qui était très rare...

Je l'écoutais parler, toujours à ma place, devant ces 2 personnes, le corps enflamé derrière moi... Je n'avais pas bougé d'un doigt, je n'avais rien à me reprocher après tout...
Quand il eut fini son premier commentaire, elle acquiessa du regard, le montrant un peu plus compatissant.

-Mais celà dit, je pense que la souffrance n'équivaut pas la mort... Si vraiment il aurait mérité de souffrir, vous n'auriez pas du le tuer... Juste comme ça, même si je suis contre cette idée, vous ne pensez pas qu'une vie de souffrance est mieux qu'une mort rapide...?

Il continua ensuite à parler, je l'écouta, sans dire d'autres mots... Il parlait de ce sang, de cette peur... Tout ce que en moi, je trouvait celà dommage... A quoi bon faire couler le sang? A quoi bon répendre de la crainte autour de soi...? Tant de gens agissent ainsi sans que je ne puisse les comprendre... J'ai beau faire des efforts, je ne comprend pas quel plaisir ils peuvent ressentir en tuant...

Malgré tout, je ne serais jamais fachée contre eux, seulement triste pour eux... après tout, si ils agissent ainsi, c'est qu'ils ont vécu dans un environnement qui agissaient ainsi, et c'est bien triste...

Je soupira légèrement. J'aurais pu reculer d'un pas, mais ne bougea pas. Il est vrai que son regard, sa voix, tout en lui faisait peur... D'autant que ces paroles me mettaient en doute en ce qui concerne ma survie... Mais finalement, allait-il me tuer...? c'est en restant ici que je le saurais...

L'inquisiteur se sentit légèrement oublié, mais cela ne le dérangeait pas tant que cela, déjà, il avait appris que la jeuen fille n'était pas avec Dante, un bon point pour elle, ensuite, il comprit que ce dernier avait un besoin de tuer, preesque inné et que la rédemption lui était égale.
Bien, il allait devoir mettre fin à ses crimes, pourquoi? Parceque s'était le devoir d'un inquisiteur d'abbatre ceux qui servait les démons, et Dante entant que mercenaire inféodé pouvait ou avait déjà servit les traîtres et les hérétiques, la vie donc n'avait aucune utilité pour ce dernier, la mort était sa seul solution.
Sortant lentement son épée bénite, l'Inquisiteur dit ces mots qu'il avait déjà prononcé des milliers des fois:

-Dante, tu es accusé de complicité avec le Malin, souhaites tu la rédemption, ou préfères tu voir ton âme périr en effer, car je suis le bras de la Siante Inquisition, Le fléaux de Dieu et si tu ne te répends pas, je sauverias ton âme en t'envoyant vers la Mort, fait ton choix...

les Mots de l'Inquisiteurs étaient dénué de la moindre émotions, de la moindre pitié, il n'avait pas de pitié pour les démons et les hérétiques...
L'Hérésie engendre le Châtiment...
Il se contenta d'ajouta:

-Et toi, femme qui est derrière ce serviteur du mal, as-tu aider les dévots du Mal?

Dante écouta la jeune femme, ce qu'elle lui disait ne lui faisait strictement rien, et il en soupira, mais il prit le temps de dire ces mots :

- De longues souffrances hein ? Je pense qu'il ne mérite pas cela. Et si je l'ai fait dans le temps, aujourd'hui, ce n'est plus le cas, seule la mort les guidera...

Il avait pris un air mauvais, et de plus, l'homme derrière lui le menaçait de mort, c'est alors qu'il soupira de plus belle, il se mit a rire, nerveusement, et il serra son fouet, il se tourna vers l'homme, et lui fit en colère :

- Tu crois que je vais te laisser me tuer si facilement, serviteur de Dieu, je suis peut être ce que je suis, mais en aucun cas je serait de mèche avec le Malin...

Il se mit devant la jeune fille, comme pour la mettre hors de portée de l'homme, puis il se mit en garde, attendant une attaque ennemie, il se méfiait, il ajouta tout de même :

- Je ne pense pas qu'elle sois du côté du mal, avec ce qu'elle m'as dit, je pense qu'elle est droite, alors t'avise pas de la touchée....

Il avait un regard des plus mauvais, froid, un regard de tueur, de truand.

Je m'apprétais à répondre à cet homme, menaçant le premier de mort, mais celui-ci répondit pour moi, tout en prenant en quelque sorte ma défense.

Un léger sourire se décina sur mon visage. Finalement, j'avais raison. Tout être, aussi mauvais soit-il, avait un côté de bon sens... Il venait à nouveau de me le prouver...

Même si je n'aimais pas que l'on prenne la parole à ma place, je n'en dit rien cette fois. Par contre, je ne le laissa pas se mettre devant moi. Je n'avais pas envie de le voir se faire tuer, simplement pour me défendre... Bien que, je me doutais qu'il n'allait pas mourir aussi facilement...

Je regarda ensuite ce soit disant hérétique... Il se disait si grand et pourtant, je trouvais qu'il se condisait lâchement...

-Si vous vous dites être le fléaut de dieu, un grand de la Sainte Inquisition, alors pourquoi vouloir tuer les gens avec si peu de raison? Sans lui donner la chance d'avoir son avis à donner? Et puis, est-ce que Dieu voudrait que l'on tue autour de soit?

Je m'en voulais un peu de ne pas savoir garder ma langue, mais je ne pouvais pas m'empêcher de dire ce que je pensais au fond de moi-même.

-En vous conduisant de la sorte, vous vous damnez vous même! car à mes yeux, si vous tuez ainsi, vous ne valez pas plus que les serviteurs du Malin!

Je ne faiblirais pas face à lui, je ne craignais pas la mort, ni même de souffrir. A mes yeux, sa façon de se conduire n'était pas la bonne et je tenais à le dire!

[HRP : Je ne serait pas là de toute la journée demain, je ne rentre que le soir vers cinq six heure... /HRP]

Dante ne bougeait plus, puis il vit le mouvement de Kimiko, il ne fit rien, si ce n'est être méfiant, et il l'écouta parler mais ne répliqua pas, puis il se remit soudain droit, et il recula de quelques pas, toujours en fixant l'homme, puis il s'arrêta net et il murmura :

- La délivrance de l'âme par la mort... Le passage de la mort... Comment Dieu pourrait-il exister ?

Il se mit soudain à regarder le ciel, il faisait nuit, et les étoiles étaient plus qui brillantes, se reflétant dans ses yeux. Il repensa alors à ce que lui avait dit son père, et il fit à haute voix :

- Dieu est comme le Malin, il tue, il tue mais celon une raison différente, il se croiet bienfaisant, mais c'est pas le cas, moi je te dirait de remballer tes salades mon pauvre mec...

Il avait de la colère dans les yeux, comme quand il avait entendu les mots de son père, la première fois où sa vie était devenue enfer, la première fois où l'envie de faire couler le sang était passée au dessus de sa raison. Mais cependant il se retenait d'attaquer, même si ses nerfs n'en pouvaient plus...

L'Inquisiteur fit quelques moulinets avec sa lame regarda la jeuen femme, elle, elle ne connaissait rien aux démons, aux hérétiques, il lui répondit:

-Le Seigneur ne peut se battre partotu, là ou il n'est pas, l'Inquisition veille...Le serviteur du mal son corrompu, je lui ai laissé une chance de rédemption comem l'exigence l'Immortel, il a refusé, il vas être chatié pour ses inombrable crimes et pour son hérésie...
Vous pensez que je susi le Mal, mais sans l'Inquisition et donc, sans moi car j'en susi un des membres, vous viveriez dans un monde où seul la violence règne...

Lentement l'inquisiteur sortit sa croix de sous sa bur et murmura une prière de pardon à Dieu, il regarda le jeuen homme et lâcha lentement ces mots qui résonèrent dans la ruelle presque déserte:

-Au nom de la Sainte Inquisition, Vous, Dante, je vous accuse de blasphème, d'Hérésie, d'association potentielle avec les puissance de la Ruine.
Le prix pour délivrer votre äme du mal et pour pouvoir revenir des morts quand l'Apocalyps est la Mort, soumettez vous, avouez vos pêché et votrerédemption sera brève, en cas de refus, vous serez soumis à la Question et en cas de résistance, je n'aurais d'autre choix pour sauver votre âme de vous tuer.

L'inquisiteur reporta son regard sur la femme inconnu:

-Quand a vous, ne vous associez pas aux forces du mal...Ou vous le rejoindrez au purgatoire...

Je les observait, l'un parès l'autre d'un air quelque peu répugné. Comment pouvait-il s'obstiner à ce point? L'un voulant garder ces pêchers pour lui, l'autre défendant ces crimes en disant qu'ils étaient pour le bien être de cette terre. Je ne puis comprendre leurs idées, leurs pensées... Et c'est peut-être pour celà que je souhaite m'y opposer.

Je m'avance, en silence et me met entre Dante et Aynkkel, d'un air sûr et sans crainte. Je fais dos à l'homme à la cape de cuir et fait face à cet inquisiteur, ce fléau de Dieux... Je le regarde d'un air qui ne me ressemble pas...
A côté de mes vêtements toujours claire, ma peau pâle, mes cheveux brillant, mes yeux étaient sombre, montrant un peu trop d'obstination par apport à ce que l'on pourait croire de moi...

-Je m'y oppose et j'en suis navrée... Mais je ne puis vous laisser tuer cet homme. Inquisiteur ou non, pour le bien ou le mal de cette terre, peut importe! Il y a eu assez de mort pour ce soir, il y en a d'ailleurs beaucoup trop chaques jours. Chacun trouvera sa voix sur terre, même si celle-ci est mauvaise, est-ce une raison de le tuer? L'homme est conçu pour vivre avec la délinquence et ces crimes... Alors pourquoi se lier aux criminels simplement pour la bonne grâce du seigneur?

Je me doutais que celà ne l'atteindrait pas, mais malgré tout, je ne voulais pas le laisser faire sans dire ce que j'avais à dire... A présent, il était trop tard pour moi d'aller retrouver ma place, là où j'aurais pu être en sécurité. Et de toute façon, je ne souhaitais pas rester ici en spectatrice... D'autant plus, si la suite n'était que mort et désolation...

Dante regarda et écouta Aynkkel, puis il se mit à rire, et il fit tout bas :

- Le seigneur n'est pas partout, il me fait bien merrer ce coco là...

Il voulut placer un mot, mais la jeune fille se posa entre lui et l'homme, puis il écouta ses mots, il troiuvait qu'elle avait du cran, et que ses paroles n'étaient pas du tout mauvaises, même trop pleines de bon sens. Mais il ne pouvait rester là ans rien faire, ildécida donc, de se reprendre, et il passa devant la fille, d'un pas lent mais décidé, et il alla assez près de Aynkkel et lui fit, d'un ton des plus agressif :

- Sâches que je ne me repentirait pas de mes actes, ces sales chiens ne méritaient rien, et même si mes actes sont obscurs, je ne travaille pas pour le Malin, ni pour des forces qui se croient supérieur. Alors remballe tes salades, mais si c'est la guerre que tu cherches, je suis prêt...

Il ne bougea pas attendant une réaction de l'homme et il pris tout de même le temps de regarder Kimiko en ne tournant que presque pas la tête. Il lui fit avec un sourire :

- T'as du cran et tes paroles sont justes. Tu mériterais mon respect.

Il regardait également Aynkkel et attendait une réaction, ou encore ses paroles qu'il avait du dire des centaines de fois, des centaines de meurtres, tout comme lui avait fait, mais pour une raison différente.

L'inquisiteur secoua la tête et soupira longuement, il fit quelques moulinets de son épée et souffla:

-je fais mon Devoir, celui que chaque membres de l'Ordre fait, si nous ne tuons pas l'hérétique, qui le ferra?
Il faut se battre pour garder l'humanité en vie, cet homem doit mourir et toi aussi si tu t'interpose...

L'inquisiteur leva sa main gauche vers Dante et souffla:

-Toi...viens donc affrontez la colère de Dieu...

J'avais empêcher l'homme de parler, mais pour une fois, je ne m'en voudrais pas. Ma cause était juste, mais pas écoutée... Ils s'en contre-fichait finalement. La preuve, Dante s'était remi davant moi, l'air manançant face à Aynkkel.

Malgré tout, il me dit que j'avais du cran, que mes paroles étaient juste et que je mériterait presque son respect. J'en souris légèrement interieurement. Mais ce n'était pas lui que je devais convaincre, c'était surtout l'autre homme, celui qui faisait mumuse avec son arme... Mais je n'avais pas réussi, il restait déterminé à le tuer, et même à me tuer si je m'opposait à ces actes.

Mais je n'avais pas dit mon dernier mot, je m'approcha de Dante, ne me metant ni derrière, ni devant lui. Juste à ces côtés... Je regardais cet homme qui peu à peu me faisait penser à ces criminels sans coeur, sans jugeotte. Ceux qui ne pensais qu'à ce qu'il voulait faire au premier pas, s'obstinant à cet acte...

-Si cet homme doit mourir, alors tuez-moi aussi, car je continuerais à m'y opposer. Ta cause n'est pas "juste". Ce n'est qu'une excuse pour assouvir ta soif de sang, ton besoin de tuer le premier qui fait un faux pas.

Je le regardais, droit dans les yeux, sans crainte, n'ayant peur d'aucune réaction possible. Je fais ce que bon me semble et mes causes à moi au moins, sont justes...

-Et qu'iras-tu dire lorsque l'on te demandera pourquoi tu m'as tuée? Que je ne voulais pas que tu fasse couler le sang? Quel sage pensée! Je n'ai rien à me reprocher! Et si vraiment tu sers l'ordre, alors tu ne pouras me tuer, car il te faut une cause pour le faire, et cette cause, tu ne l'as pas! Je n'ai jamais rien fais de mal.

A présent, j'ai défendu ma cause, mais il restait à défendre la sienne... Je n'ai aucune envie de le voir mourir... Sans savoir pourquoi... Même si je sais qu'il a tuer, après tout, chacun son métier... Et puis, il avait déjà l'air plus humain que cet inquisiteur...

Il y a une solution pour éviter une nouvelle mort ce soir... Partir, chacun de son côté ou non, celà dit, je ne laisserais pas cet homme seul. Il faudrait qu'il accepte de me suivre, de laisser cet homme en plan, mais il ne semblait pas avoir l'air d'un homme qui accepte si facilement la fuite. Qui pour moi serait plutôt nier d'ailleurs...

L'Inquisiteur secoua sa tête et souffla:
-Cela fait plus d'un demi siècle que je suis dans l'Ordre, pourchassant les démons et les hérétiques où qu'ils se cachent, leur perfidie et leur volonté de destruction m'oblige à les tuer, le seigneur guide mes pas vers ce long et difficile chemin ou chaque pas peu mener à la damnation éternel.
Te tuer n'aura aucune conséquence, la raison sera la suivante: Défense d'un hérétique...Je devrais même déjà t'avoir trancher la gorge pour avoir remis en cause la Sainte Inquisition..Mais, tu es jeune, alors pars maintenant et ton visage disparaitra de ma mémoire.
Reste, affontre moi, et tu sera excomunité, tu sera pourchassé, traqué et finalement mis au bucher pour hérésie.
La mission qui nous a été confié à moi et à mes Frères depuis la Nuit des Temps par le Seigneur est de tuer tout serviteur du Mal et ce quel que soit les moyens à utiliser...Crois-tu vraiment que j'agis pour moi?

L'inquisiteur montra la rue adjacente de sa main non occupé par son épée et lacha:

-Pars, ou subit le courroux de Dieu...

Il y eut un léger souffle, un souffle glaciale qui balaya la rue, agitant lentement les cheveux de Aynkkel et sa bur...

Je l'écouta, tout celà en silence. Il restait déterminé à le tuer et même à me tuer... Bien que cette fois, il me laissait la chance de m'en sortir. Il me demanda de partir, ce que je fut tentée de faire... Mais un léger vent glacial me balaya les cheveux, me caressant le visage, comme si il m'invitait à prendre face...

C'est ce que je ferais... Je m'avance pour m'éloigner de Dante, mais seulement pour m'approcher plus encore de cet inquisiteur. Je lui fait face, mon visage à quelques centimètres à peine de celui de cet inquisiteur déjà vieux dans son métier...

Je le regarde dans les yeux, poussant un très léger soupire. Je le voix dans ces yeux qui n'exprime aujourd'hui plus aucuns sentiments. Ce que cet homme a vu, je ne l'ai vu qu'au dixième prêt... Je lui devrais le respect, ce que je ferais, mais malgré tout, ce n'est pas pour autant que je l'apprécierait...

-Si vraiment c'est ce que vous exiger, alors faites moi goûter au couroux de votre seigneur. Sachez seulement que je ne m'oppose ni au dieu si à la sainte inquisition, seulement à cette mort... A cet acte qui vous fera tuer cet homme... Je ne sais que dire, mais quelque chose me dit qu'il ne mérite pas ce sort, du moins, pas pour l'instant... Les autres, je m'en fiche, votre métier est votre métier...

Je soupira à nouveau, à tout moment, il pourait me trancher la gorge, mais je serais prête. Qu'il le fasse, ce ne sera qu'un être de moins sur terre... Il aura seulement tuer un être juste, ce que je suis, il me semble...

-...

Ainsi, je n'aurais plus rien à ajouter...

Dante écoutait leur conversation, ilne revenait pas de cet homme, qui était le plus meurtrier des deux ? Il hésitait à dire une réponse, mais en voyant Kimiko s'approcher de l'homme, il se repirt et s'avança, et il se mit près d'elle, il ajouta :

- Désolée de vous copupez dans votre conversation, mais là, sa commençe à me gonfler sérieux. Je ne reviens jamais sur une décision, et sincèrement, toi, tu comence a m'énerver.

Il pris Kimiko par la taille pour la décaler de quelques centimètres, et il prit carrément le katana de l'homme, dans les mains, le sang coulais quelques seconde après, et il le regarda dans les yeux, il lui fit :

- Bon, c'est pas que je m'ennui, et je ne suis pas du genre à m'enfuir, mais là, cette histoire prend une sale tournure, tu me propose de mourir ou mourir, et moi je te propose de me foutre la paix.

A ces mots, il lacha le katana, et se recula, puis il soupira, il se passa une main sur le visage, et se mit de son propre sang sur le visage. Il se recula toujours de plus en plus, il fit :

- C'est pas le tout, mais moi j'ai du boulot, si jamais je te revoit, je pense que se sera pas la même chose... Et je pense que cette fille saura s'en sortir avec toi.

Sur ces mots, il continua de reculer, pour disparaître dans le noir de la nuit, et on n'entendit que le cuir de sa veste, pour une toute dernière fois.

Je sentis l'homme derrière moi m'attraper par la taille et me faire légèrement décaler. Il s'pprocha ensuite de Aynkkel et prit la lame de son arme dans la main. Il la prit d'ailleurs si brusquement que j'en fut surprise, metant mes mains devant ma bouche, comme pour m'empêcher d'ajouter quelque chose en voyant ce sang couler...

Il commença ensuite à s'éloigner, me laissant seule avec cet inquisiteur à l'air peu rassurant. Même si à présent, j'avais de fortes chances de mourir, j'étais rassurée que l'homme s'en allait en bonne santée, malgré cette plaie sur sa main. Je serais m'en sortir avec lui...? En quoi dit-il celà? Je ne vois pas ce que je ferais de plus avec cet homme...

Attendre ma mort? Celà ne m'attire guère... Par contre, j'aimerais savoir ce qu'il adviendra de cet homme qui venait de disparaître dans la nuit...

Le corps derrière commençait tout doucement à s'éteindre... L'homme était irreconnaissable, la peaux fondue, les yeux crevés, les vêtements brulés, les cheveux en cendre... Je soupira, puis regarda l'inquisiteur droit dans les yeux, attendant comme un quelconque ordre de sa part... Est-ce que je dois partir, ou attendre ici qu'il me donne la mort...?

L'inquisiteur eut un petit rire inhumain, il mit sa lame au fourreau et regarda la jeune femme, il sortit un téléphone portable et appela quelqu'un:

-Code Bleu, un brûler, nettoyage complet, un unique témoin, la cible a disparut, je m'occupe du témoin...

L'Inquisiteur regarda Kimiko, la pauvre, si naïve, si jeuen face au térrible monde. Le membre de l'Eglise dit alors/

-Tu le voit cet homme! il vient de te laisser seul avec un Inquisiteur, tu risque la mort et pire, la damnation éternel...Toi tu voulais le sauver, lui il te laisse te faire tuer....
Crois tu en Dieu?

L'inquisiteur se mit à marcher lentement autours de l'inconnu, Dante devait être loin, mais maintenant il savait quel était le visage de cet hérétique, la traque ne serait que plus facile...

Je le regarde faire, restant silencieuse au beau milieu de cette ruelle déserte. L'homme venait de demander un nettoyage complet de cette ruelle afin que le crime reste inconnu... Son air était toujours aussi froid, aussi sec, mais je ne craignait pas, je resterais moi-même, tout en disant ce que je pense.

-Si tel était son idée, de me laisser entre vos main, je le laisse faire. Je ne peux lui en vouloir de me laisser seule face à la mort. Après tout, il ne me doit rien...

J'avais le regard dans celui de cet inquisiteur. Je parvenait à me voir à travers le noir de ces yeux dénudés d'expression... Allait-il vraiment me tuer, ou allait-il réagir celon mes paroles? Quoi qu'il en soit, je ne chercherais pas à bien formuler mes mots, seulement à dire ce que je pense...

-Le Dieu est différent pour chacun, comme pour l'un, il peut vouloir dire la force suprême, pour d'autre, il peut simplement vouloir dire la douceur même... Personnelement je crois en Dieu, mais je garderais les idées que j'ai de lui pour moi.

Je le fixait toujours droit dans les yeux, l'air parfaitement calme et serrein.

troid camionette arrivèrent, toute noir et sans plaques d'immatriculation, Aynkkel resta immbobile, comme si leur venu lui était égale.
Des Hommes sortirent vêtue de combinaison noir, un casque qui cacher leur visage, sur leur épaulière, comme un blason, une épée planté dans un crâne entouré de feu.Les Hommes de mains de l'Inquisition...L'un d'eux interpella Aynkkel:
-Mon Seigneur...Que fait on?
-Nettoyez moi le corps, eau bénite, et oubliez pas la purification par le sel...
-Et pour le témoin?
-je m'en occupe

l'inconnu salua Aynkkel et parti vers le bûcher pour commencer la purification. L'inquisiteur reporta son regard Sur kimino, il sortit un appareil photo numérique et la prit en photo, il commença:

-je devrais t'éxécuter sur le champ pour hérésie, mais ce n'est pas de l'hérésie, c'est de la naïveté...jJe vais donc te laisser une chance...Mais avant....Tu vas répondre à certaines question...
Nom, prénom, âge, famille, croyance...Et de quel côté penses-tu être?