Pose café ?

Dante se trouvait dans le café, plus précisément, dans le fond d'une salle, devant un café corsé, noir ete sans sucre, il aimait se gout. Il en prit une gorgée et s'affaladans son fauteuil, il regardait les gens parler, et un vent frais lui caraissait la peau à chaque fois qu'un être humain entrait dans le café, cela lui procurait un confort mémorable. Il attendait quelque chose, un signe, une présence familière. Ou simplement un nouveau travail, histoire de tuer, ou faire couler le sang.

- Je suis à cour de boulot en se moment, fait chier... Pourtant, les vengeances ne manque pas... Des innocents qui se croient innocents et pourtant ils veulent vengeance. Pff...

Il re but une gorgée et il prit le journal, histoire de voir ce qui se passait dans la ville. Il prenait en même temps, du repos et une bonne dose de café, l'argent quil gagnait en tempsque tueur a gage lui permettait de subvenir à ses besoins fondamentaux...

La jeune femme d'à peine 17 ans était là, silencieuse, depuis un peu plus d'une heure maintenant. Elle avait déjà bu plusieurs verres, mais ce sentait encore parfaitement bien. Juste devant elle se trouvait un homme qui se limitait apparement au café noir, vu qu'à chaque tasse commandée, il laissait le lait et le sucre sur le côté... A un moment, il parla, surement à lui même... Taiyô l'écouta malgré tout... Ces paroles la fit sourire et se lever. Elle se leva de sa chaise pour l'ammener à la table de l'homme et s'asseoir en face de lui, sans permission, juste le temps de lui répondre à ces paroles...

-Qui est encore innocent de nos jours? Moi je dirais plutôt des malheureux se disant innocents malgré qu'ils vivent dans leur malheur et leur haine envers les autres, jours après jours... Tous ont un jour souhaiter la mort de l'un où l'autre de ces voisins. Mais ils n'ont pas assez de cran pour tuer ou pour demander de tuer.

A ces mots, elle s'arrêta. Elle avait un air sombre et mystérieux. Quelque chose de banal en elle finalement... Elle s'apprêtait déjà à se relever pour retourner à sa place...

Dante avait prit une gorgée de café, et il vit soudain une femme s'approcher de lui, il la laissa faire, puis il écouta ce qu'elle avait à lui dire, puis il en souria, et fit à haute voix :

- Nous sommes tous innocent, jusqu'au moment où nous devenons irrémédiablement des coupables... Ton raisonnement n'est pas faux...

Au moment où il vit qu'elle voulait partir, il se redressa et lui fit, avec inertie, mais avec un petit sourire :

- Je t'offre quelque chose ?

Il la regardait, attenddant une réponse, pas forcément positive. Il se remit a boire son café d'un trait et demanda un demi de bière au barman, qui lui fit signe qu'il allait lui apporter.

Quand l'homme face à elle reprit la parole, elle s'arrêta dans son élan, pour l'écouter... Il était d'accord avec son idée, ce qui ne l'étonna guère, étant donné que ce qu'elle avait dit était plus que vrai -_-'
Il lui proposa ensuite à boire un verre, ce qu'elle ne sut refuser. Elle reposa ses fesses sur la chaise [lol] tout en le regardant d'un air parfaitement calme.

-Et bien oui, pourquoi pas...

Par chance, le verre qu'il lui restait sur l'autre table était vide. Et puis, de toute façon, des gens avaient à présent pris sa place à la table de gauche...

Akira entra dans le bar. Il voulait trouver un peu de repos et il voulait se désaltérer. Il y avait une ambiance de joie dans le bar. Akira s'assit au bar, et demanda au barman du vin blanc. Etant un grand connaisseur, et ayant les moyens, il demanda le meilleur vin de la cave.

Le barman ne se fit pas prier. Il descendit et remonta avec une bouteille. Il lui servit un verre et posa la bouteille a cote.
Deux personnes au fond de la salle attirèrent l'attention d'Akira. Il ne fit que les observer.
Il leva son verre, le secoua légèrement, le ramena a son nez pour sentir le parfum de ce liquide exquis. Il amena ensuite verre a sa bouche et but une gorgée.
A l'autre bout de la salle un saoul commencer a faire ch*** le monde.

Akira se retint de se lever, mais sa ne dura pas longtemps. Il se leva, se dirigea d'un pas décider vers l'homme. D'une main puissante, il étrangla l'homme et le souleva ensuite.
Il s'approcha de l'oreille du sourd et d'une voix froide et sadique il dit:

" Si tu ne t'arrête pas, mon cher ami, je serais dans l'obligeance de te défoncer la cervelle. J'espère que le message est bien passe. "

Des qu'il eut relâcher l'homme, celui ci prit son couteau de sa poche et attaqua Akira, sans le moindre résultat, il ne le toucha même pas.
Akira n'eut même pas a se retourne: Il dégaina son katana d'un geste noble et élégant, le transperça le coeur fatigue du vieil homme. Et ensuite, comme promis, il sorti un de ses deux berreta un fit gicler la cervelle du saoul.

Akira fut satisfait, il le montra d’un sourire en coin. Il retourna s’asseoir au bar. Il finit calmement son verre. Tout les regard étaient tournés vers lui, mais il s’en moquer.

[HRP : Désolé si j'étais assez long ^^'/]

Il vit la jeune femme s'assoir, puis il la laissa choisir ce qu'elle voulait, et il reprit une gorgée, puis il lui fit :

- Je peux te demander ton nom ?

Il ne dit point mot supplémentaires, ne regardant même pas la jeune femme dans les yeux, mais il vit un homme qui était entré, et qui fit par la suite une vrai scène sous ses yeux, d'ailleur il avait vu qu'il les observait, cela ne lui fit rien, et même si il avait tué un homme il s'en fichait.

- Y'en à qui se gêne pas de nos jours... Pff

Il ne fit rien de plus, regardant cette fois-ci la femme en face de lui.

La femme en question venait de commander son verre au barman lorsqu'un homme s'engouffra dans le café et commença son petit cinéma devant le regard béa de ces idiots térrorisés... Elle n'avait d'ailleurs pas eu le temps de répondre à la question de Dante, vu qu'il avait tué un homme à la seconde d'après...
Quand Dante la regarda à nouveau, elle soupira légèrement, à son tour... Puis, elle fit bientôt comme ci de rien n'était...

-Mon nom n'importe peu, mais si tu le désires, alors je te le dirais. Taiyô...

Le barman apportat un verre à la table pour ensuite demander à Dante si il voulait lui aussi quelque chose. Quand il repartit, après la réponse au jeune homme, Taiyô continua de parler.

-Et toi, comment te nommes-tu?

Il la regardait un instant, elle avait un caractère assez fort, et il pensa qu'il voulait simplement savoir son nom pour plus de courtoisie et de détente entre eux, enfin un minimum quoi, mais bon, il finit par lui dire, enréponse :

- Mon nom est Dante.

Il sentait quelque chose de sombre en elle, et il ne fit rine, la fixant sans mot dire, quelques instants, sont caractère ne lui plaisait guère, mais cela le laissait néanmoins, inerte.

- T'as du caractère dis donc. Quesque tu viens faire dans se coin, te bourrer la gueule ?

Il avait été directe, sans même se soucier un instant de comment elle réagirait, surement sans émotion particulière. Néanmoins, il se remit devant son verre.

Taiyô émit un léger sourire. Sourire qui devait lui être rare sans doute, parce qu'il n'avait rien de mauvais... Dû à son passé, ça devait être devenu quelque chose qu'elle trouvait sans interêt...
Le jeune homme se nommait Dante, nom peu commun et pourtant pas étrange pour autant. Son comportement par contre changea du tout au tout... De son air humble et poli, il passa à un air défiant et sans gêne. Masi celà importait peu. Si il avait envie de parler à la jeune femme comme à un chien, qu'il le fasse. Seulement, à l'avenir, il devrait sans doute se méfier au moindre pas de travers...

-Et bien, si je suis ici, c'est simplement pour souffler un peu. boire un verre et rencontrer des gens. Rien de plus...

Elle but une gorgée de son verre puis le regarda à nouveau.

-Et toi Dante...? Que fais-tu ici...? Celà fait longtemps que tu te trouves dans la ville?

Dante prit un air un peu plus sérieux, ne faisant pas attention au sourire de la jeune femme. Il se redressa et se mit aussi droit que possible, et malgré sa stature fine, il n'en restait pas moins assez dur. Il poussa son verre de côté, et pour finir, il le laissa se briser sur le sol, dans un mouvement assez bref et raide. Puis, se retournant vers la jeune femme, il lui répondit, sans sourire :

- Je suis dans cette ville, en recherche de boulot, ou peut être d'un calme que je ne trouverais jamais, néanmoins, un boulot ou l'ont tue des gens par plaisir des autres, c'est pas la vie que je m'imaginais, mais bon, je pense que la plupart des gens sont trop occupés par leur propre vie pour se soucier des autres. Et puis, pour tout dire, je ne suis pas là depuis longtemps, mais c'est le seul endroit que j'apprécie, pour l'instant...

Il s'était calmé, reprenant une stature plus souple, et détendue. il ne savait pas trop pourquoi il avait fait tout ça, peut ^^etre une vieille colère remontait en lui, un évènement, des évènements qu'il voulait oublier, et son boulot était un moyen, se noyer dans le sang humain pour oublier, comme n'importe qui oublierait ses souvenirs dans l'alcool.
Il regarda la barman, et lui fit signe de lui apporter un autre verre et une bouteille quelqconque, mais de fort. Se faisant, tout le monde ne fixait plus leur regard sur eux, et cela l'arrangeait, mais oubliant se maigre détail, il refit face à Taiyô, ne parlant plus quelques instants, puis il finit par ajouter, calmement, sans émotions dans la voix :

- Il n'y a pas beaucoup d'endroit dans cette ville pour se reposer, mais le silence et le repos sont de bons remèdes. Vous avez de la chance d'avoir du temps pour souffler...

Le barman lui apporta ce qu'il avait demander, et c'est alors qu'il se servit un verre plein, qu'il bu en quelques secondes, et s'en reservit un, sans dire et faire quoi que se soit de plus.

La jeune femme aux cheveux violets et aux yeux indigo ne bougea pas d'un pouce lorsqu'il repoussa le verre, ne regarda par le verre tomber, ne sersauta pas au bruit du verre brisé... Elle ne fut même pas surprise de le voir se lever et élever la voix de la sorte... Du moins, elle ne le montrait pas.

Le jeune homme déblaterrait des tas de paroles qui auraient pu effrayer toutes les personnes présentes dans ce bar, mais personne ne semblait vraiment avoir compris ce qu'était ce son métier...

Quand l'homme se rassied à l'arrivée d'un nouveau verre et de quoi le remplir, il vida le premier, pour le remplir une nouvelle fois. Taiyô but tranquillement son verre pendant son temps avant de daigner répondre...

-que puis-je dire à tout celà? La vie est faite ainsi, nous ne choisissons pas toujours notre métier... Il est souvent fait à la base de ce que nous savons faire... Si vous êtes doué pour tuer, alors qu'il en soit ainsi... Parfois, il vaut miaux avoir un travail où l'on doit se salire les mains qu'un travail ou l'on meurt à petit feu...

Il est vrai que certains travails mornes et sans interêt tue les travailleurs... Ils tombent dans la dépression, dans le train train quotidien qui tue lentement les évènements bouleversants d'une vie... Etre tueur à gage est quelque chose de tellement plus palpitent...
Mais tout celà, Taiyô le pensa sans jamais le dire...

Si il avait pu changer de vie, il ne l'aurait pas fait, et pourtant, au fond de lui, cette vie ne lui plaisait pas. Quelle voie suivre ? Il ne le savait pas, mais il savait que ce ne serait pas le bon chemin, sa vie n'était que sang et meutre sur meurtre, non pas que cela ne lui plaise pas, mais ce n'était pas ce a quoi il aspirait. Tout ce qu'il pensait, c'est simplement faire couler le sang de son père, à travers des innocent, il ne faisait que suivre son chemin, sans trop le vouloir, mais sans trop s'en apercevoir non plus.
Ce que lui fit Taiyô ne le fit même pas bouger, a vrai dire, cette manière de penser n'était pas tout lui, il avait du mal a cerner certaines choses, mais il était mauvais, il devait l'avouer, ce qu'il avait vécu, son métier, se passé qui le ronge, et pourtant il pensait avoir fait un trait. Mais parler de son passé de son métier, commencer à lui taper sur le système, même si il souffrait. C'est alors qu'il finit par répondre :

- Mon clan était un tas d'escroc et de voleurs, de meurtiers en tout genre, nous étions élevés au fouet et dans les flammes du combat, du sang, les plus faible d'entre nous mourrais, les femmes n'étaient pas épargnées non plus. Ce métiers me conviens, j'avoue que je ne me voyait pas facteur ni vendeur dans un magasin miteux, je serait devenu hystérique avant l'heure. Mais néanmoins, même le plus futile est important, mais je pense que se genre de raisonnement n'a pas sa place ici...

Il avait prit son verre dans les main, pour en boire un deuxième cul sec, puis un troisième, et un quatrième, et la bouteille n'était plus en très grande forme, et l'alcool ne lui faisait presque rien, voire rien du tout, d'ou ce qu'il disait tout à l'heure, si il ne noie pas son passé dans le sang, il ne saurait pas comment faire autrement. Il ajouta :

- Je pense que je ne vais pas faire un récit de ma vie, ni de mon passé, et le temps empoyé a ces connerie me rend mal à l'aise si on peux dire ça comme ça. Néanmoins si vous voulez partir, je ne vous retiens pas...

Il se remit le dos contre sa chaise, et se laissa glisser un peu vers le bas, et il poussa un petit soupir, pour enfin regarde la jeune femme dans les yeux. Il n'était pas fana de conversation, et ne voulait pas rentrer dans les détails de la vie ni des occupations de cette fille.

Akira se contenta de regarder les personnes du bars chuchoter. Il sirotait calmement sa boisson tandis qu'il était plonge dans de profondes pensée. Il se disait que ce qu'il venait de faire ne servait strictement a rien. Il voulait tuer, certes, mais une seule personne ... aussi rapidement. Il trouvait sa inutile et sans intérêt. Il voulait faire un massacre. Il commençait déjà a réfléchir a comment réunir une vingtaine de personne. Ce n'est pas rien... et comment gagner leurs confiance?

*L'argent... Les humains n'aiment que sa. Je n'ai qu'a en trouver un peu. *

Akira décida alors qu'il devait attaquer une banque.. Cela ne lui prendrait que quelques minutes. Voila... c'était ça qu'il allait faire.Il en était maintenant sur.
Il chercha dans la salle qui serait capable de mordre a la l'hameçon. Il y avait plusieurs clochard dans ce bar ... une somme d'argent assez importante les feras venir comme des fourmis sur un cadavre.

Bachila entra dans le bar la journée avait était merdique ces affaires se faisait la mal nul moyen d^'arriver a quelque-chose avec les quelques bon a rien qu'il avait recontré jusqu'a présent.
Le bar l'alcool le bruit la fumé, quelque -chose qu'il retrouvait toujours avec une paix insondable d'abord, puis la vie reprennait son cours.
Il se laissa aller a écouter les discutions, il observais les hommes autour de lui, mais aussi les femmes ces deux taff's les hommes pour faire tourner avec ordre les affaires de la ville pour éviter les bains de sang entre gang. Les femmes pour le plaisir du travail de gigolo et les risques qu'il comporte. Les mauvaises surprises et les bonnes aussi.
Il passa au comptoir salua le patron lui posa quelque questions auquels il connaissait déjà les réponses.
Toujours rien de nouveau hein?
Il se posa un whisky a la main alluma une cigarette et attendis le coup de bol la rencontre qui pourrait le sortir du merdier et aussi lui rammener un paquet de fric au passage, ça fait jamais de mal.
Il remarqua deux homme l'un aux regard farouche et l'autre d'aparance trés calme et solenelle qui parlait avec une jolis femme.
Je l'ai pas déjà vu c'te nénette??
Pensa-t-il une fraction de secondes...

Le temps passait à une de ces vitesses de nos jours que bientôt, Taiyô remarque que 5heures venait de sonner... Elle avait complètement oublié un rendez-vous spécial, avec quelqu'un de pas spécialement spécial... Juste quelqu'un qu'elle avait croisé dans la rue et qui lui semblait savoir bien beaucoup de choses sur son passé... Ainsi, elle avait decidé de le rencontrer une nouvelle fois, de le questionner et d'en découvrir plus sur cette année si belle à son idée et que pourtant, elle n'avait pas en mémoire... Pourquoi tout était confu? Pourquoi rien ne lui revenait?

Elle se leva d'un bond, faisant grincer sa chaise au sol, avant de prendre son verre et le vider cul sec.

-Vous m'excuserez, mais j'ai fort à faire...

Elle s'inclina légèrement avant de commencer à marcher vers la sortie. Au passage, elle croisa un homme assez mignon qui lui sembla familier... L'aurait-elle déja vu? Mais le temps lui manquait, elle était en retard...

[Taiyô out]

Bachila lança un billet sur la table après avoir terminé son verre et sortit de l'établissement. le serveur venait de se payer un sacré pourboire avec ce qui trainait à présent sur cette table.
Rien ne se passait plus dans ce bar. La seul jolie fille du coin venait de sortir et il ne pouvait rester a rien faire plus longtemps.
Il ouvrit donc la porte que cette jeune femme venait d'empreinter et après l'avoir laisser laisser se refermer, s'éloigna d'un pas nonchalent...

*décidément rien n'arrivait ici pour l'instant.*
[Bachila out]