Parfois dans le mal...

Dante était au bord de la mer, il regardait le soleil se coucher, sur l'horizon, il marchait de telle manière à ce que les vagues lui touche le bout des bottes, dans de petits clapotis, et le bruit de la mer était si beau à ses oreilles. Il s'arrêta, pour regarder l'horizon lointain, et il resta devant, regardant le ciel également. Puis, il s'asseya dans le sable, l'eau venait au dela de lui, et même si la marrée montait, il ne bougeait pas, regardant toujours le ciel. Il ferma alors les yeux, et ilvit l'image de sa mère, sa véritable mère, son regard si doux, si attentif, il ré ouvrit les yeux, et il regarda autour de lui :

- Mère ? Mais comment....

Il se releva, et vit au loin, une jeune fille d'à peine dix ans, dans le sable, sans personne en vue, il vint auprès d'elle et lui fit :
- Tu es seule ?
- Ma maman n'est pas revenue...
- Ou est-elle allée
- Elle a dit qu'elle allait chercher des glaces pour nous deux.

Il s'approcha d'elle est regarda les environs, personne, a cette heure-ci, c'était normal, et il sentit au fond de lui, pour la toute première fois, le mal dans son état le plus pur. Une force que lui même ne connaissait pas, si noire, que le vent autour de lui devenait plus fort, et ses yeux, eux, devenaient encore plus brillants. Il prit la petite par le cou, d'un seul coup, le visage de son père lui revenait en tête, ses entraînements, le sang qui coulait. La petite ne pouvait crier mais elle se débattait pour sortir de son emprise, lui, n'éprouvait que du plaisir de la voir pleurer, souffrir... Il la serrait de plus en plus, se rappellant de plus en plus les souffrance que son père lui avait fait endurer.
Petit à petit, la fille perdait de ses forces, et lui, il ne essait de serrer de plus en plus, se rappellant les lacération, les coups de couteau, les coups de poingt, les poids sur son corps. Et pour finir, la petite rendue l'âme, elle ne bougeait plus. Il la regarda, et ses yeux avait de la tristesse, mais aussi du plaisir et de la colère. Il regarda à l'opposé de la mer, la mère de la petite, qui arrivait en courant, elle vint auprès de lui, criant :

- Qu'avez-vous fait !

Elle prit sa fille des mains de Dante, qui la regardait, des larmes de sang coulais le long de ses joues, et elle regarda la mère, en pleur, quand elle vit les larmes de sangs, elle fut prise de peur mais ne bouegait pas, Dante lui fit :

- J'ai encore brisé une vie... Mais une âme emplie d'innocence, ne peux pas trouver la damnation. Le poids de ses péchés seront miens. Et votre souffrance sera mienne également...

La femme le regarda avec des yeux qui ne savaient quoi dire, et en un instant, Dante l'attrappa avec son fouet, par le cou, et il commençait à serrer, de plus en plus, la femme n'avait pas assez de force, et elle pérrit dans les secondes suivantes. Aussitôt ceci fait, DAnte transporta les deux corps, au bord de l'eau, et il marchait de plus en plus loin, dans les profondeurs, où il laissa les corps dérivés. Il les regarda partir et fit :

- Tout comme l'air, l'eau peux effacer est emporter est peine.

Il revint sur le bord de la mers, regardant que le soleil finisse de se coucher...

Sakura était venue se reposer lors d’une de ses journée de congés à la plage. Elle s’était assise derrière un arbre et avait lu un livre qui la passionné. Elle entendit alors une petite fille pleurait, elle se retourna vers la mer et vit un homme en compagnie de la petite…Puis elle continua sa lecture. Soudain elle entendit la mère de l’enfant crier. Elle se retourna et ce qu’elle vit lui glaca le sang. Elle se leva rapidement mais c’était déjà trop tard. Elle s’avança vers l’homme qui regardait a présent le soleil se coucher après avoir mis dans la mer. [/size)

"Pourquoi avez-vous fait ça !?"

Elle avait crié toute la rage qui avait en elle. Car cela lui rappelait trop la personne qui avait tué sa mère. Au coin de ses magnifiques saphir perlait une larme, pas de peur, ni de tristesse mais de rage.

Notre homme se retourna, puis il regarda celle qui lui avait parler, elle pleurait de rage, en lui criant des mots, mais cela ne lui fit rien, il se tourna alors complètement vers elle :

- J'ai été élevé comme ça et sa me plaît. Je ne prend plaisir qu'a tuer, mon monde, c'est celui du sang, de la peur, du chaos...

Il la fixait avec autant de colère, et il serra sa main sur son fouet, le vent se levait autour d'eux, donnant aux vagues une hauteur de quelques centimètres, et il s'approcha plus d'elle. Le soleil commençait à se lever, mais le visage de l'homme était toujours caché par l'ombre, mais on pouvait voir un sourire sur son visage, il était mesquin, mais cependant il ne fit rien à la jeune fille.

- Le monde ne pleurera pas ces deux personnes. Elles seront vites oubliées, comme la plupart de ceux qui meurent, et tuer nous rapelle que la vie et si fragile...

La jeune femme observa l'homme bien mystérieux et cruel qui se trouvait devant elle.

" Qu'est ce que vous en savez ?! Qui êtes vous pour juger ! " Cria-t-elle.

" Vous ne savez pas ce qu'est la vie ! Vous êtes juste capable de l'enlever ! "

Le regard de Caitlin devenait noir tellement la colère montait en elle, elle ne se mettait que trés rarement en colère mais dans les rare fois ou elle avait perdu son calme toute les personnes s'en étaient souvenu le long de leur vie.

" Vous êtes...monstrueux ! " ajouta-t-elle avec mépris.

Dante resta de glace davant les mots de la jeune femme, et aucune émotion ne semblait sortir de lui, néanmoins, elle avait un bon sens au fond, il ne pouvait le nier, et c'est alors qu'il lui fit, calmement :

- Je ne suis ni Dieu, ni personne capable de juger, de toute façon, seul Dieu peux juger, ni moi, ni vous, ni personne en ce bas monde. Les humains ne sont que de vulgaire esclave de leur liberté... Si je pouvait tous les anéhentir, je le ferais sans hésiter !

Passer ce bref mot, elle lui fit qu'il était monstrueux, il prenait plutôt cela pour un compliment, pas pour autre chose, et un sourire se coinça sur son visage, et ses yeux avait une lueur presque sadique, sous ses mèche de cheveux blancs. Il ne rit cependant pas, mais répondit à Caitlin :

- Peut être suis-je monstrueux, mais il y a pire que moi, je ne dit point cela pour me défendre, car je sais que je suis monstrueux, tout le monde me voit comme ceci, car on ne juge qu'aux premier regard, cela ne me fait strictement rien, je ne donne pas non plus une seule explications sur mon comportement abjecte, mais bon, vous voyez, elles seront peut être mieux dans les cieux...

Il se tourna un instant vers la mer, et se doutait qu'il paierait ses actes, mais peut être était-ce cela qu'il cherchait, une certaine dose de courage a braver ce qui serait sa propre condanation un jour, mais personne ne pourrait comprendre ses agissements, ils le prendraent tous pour un fou, un hérétique, un monstre... Tout comme son père. Après un instant de regard sur la mer, il refit face à la fille :

- Pense de moi ce que tu veux, crie moi ce que je suis à tes yeux, les sentiments, je ne les connaît plus...

» Dans une sombre ruelle... [Private Rukkia and Les Esprits]